Les filles osent le code chez Holberton !

Cathy, Sonia et Pauline sont apprenties développeuses. Flexibilité de la formation et apprentissage collaboratif en mode projet, ont séduit ces trois femmes en reconversion.

La première, qui a exercé divers métiers, est mère de trois jeunes enfants. Elle apprécie le fonctionnement de l’école qui ressemble à celui de l’entreprise « avec des projets concrets, beaucoup d'entraide et une certaine liberté offerte par l’hybridité de la formation ». En effet, un seul jour de présentiel est obligatoire, il est possible en effet de suivre à distance des séquences avec des coachs et d’avancer sur les projets de manière autonome.

Pauline plébiscite aussi cet « apprentissage non conventionnel : si le cerveau sature, on peut s’arrêter et reprendre plus tard. » Ce qui lui permet « de toujours avancer » à son rythme, alors qu’elle souffre d’un trouble de l’attention et attend son premier enfant. Tout comme Sonia parce qu’elle a conservé son activité de consultante indépendante et qui souligne aussi la pertinence du format : « une formation qui se situe entre un bootcamp et une formation longue, ni trop longue, ni trop courte, bien dosée pour apprendre le métier ».

Le message qu’elles adressent aux femmes ? « Allez-y, foncez ! », lance Sonia qui porte aujourd’hui un projet de start-up qui pourrait être accompagné par un partenaire de l’école rencontré lors de la présentation de son projet de fin d’année. « Il ne faut pas avoir peur d’aller là où on a envie d’aller », renchérit Pauline. D’autant qu’ « avec la curiosité, tout est possible », conclut Cathy.

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Pour intégrer Holberton, aucun prérequis n'est nécessaire, seule la motivation des candidats compte. Ici, pas de salle de cours ni de professeurs, les étudiants avancent sur des projets qui leur sont donnés en début de semaine. Nos Holbies sont installés dans des open spaces pour les encourager à travailler ensemble. La pédagogie est basée sur la pratique et l'entraide, chaque début de semaine sont donnés aux étudiants des projets sur lesquels ils doivent avancer.

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Source : Marie Claire Toulouse