Avant de rejoindre Holberton, Clarisse était téléconseillère technique chez Free. Une reconversion qui s’est imposée à elle comme une évidence : « J’ai fait un petit benchmark pour chercher un peu toutes les écoles pour une reconversion… et je suis tombée sur un afterwork organisé par Holberton. Je suis venue voir, j’ai passé le test d’entrée, et c’était parti. »
Ce qui a motivé Clarisse à choisir le développement ? Le besoin de comprendre ce qu’il y a « sous le capot ». Elle le dit avec humour : « Résoudre des problèmes au téléphone, c’était bien… mais j’avais besoin de savoir comment ça fonctionne. »
Cette envie de comprendre s’exprime pleinement dans les projets qu’elle réalise à l’école : « Ce qui me plaît le plus, je pense, c’est l’autonomie. On nous donne un projet et après, c’est à nous de voir comment on s’organise, comment on gère notre temps… »
Clarisse apprécie particulièrement la pédagogie par projets, sans cours magistraux : « Pas de prof, pas de cours classiques. On choisit si on veut d’abord étudier la notion ou foncer dans le projet. »
Mais l’autonomie ne signifie pas isolement : « Coder en groupe, c’est aussi stimulant. Je l’ai vu sur le projet HBNB, où j’ai eu la chance d’être avec quelqu’un qui a super bien tenu son rôle. Il m’a fait sentir ce lien entre entraide, bienveillance… »
Elle garde aussi un souvenir marquant du projet Shell : « C’était vraiment deep. Mais justement, c’est ça qui m’intéresse : comprendre comment ça fonctionne, voir les choses en plusieurs phases, avec un vrai cahier des charges. Là, j’avais l’impression d’être vraiment dans le monde du dev, avec un vrai métier. »
Aujourd’hui, Clarisse cherche activement une alternance. Elle se projette dans un environnement où le code rime avec esthétique : « Je me verrais bien dans une agence de com, pour faire des trucs un peu jolis. »
Et elle n’est pas venue seule chez Holberton : « J’ai fait venir un collègue de mon ancien travail. Il est dans la promo maintenant ! »
Rédacteur
Student Success Manager